Pour quoi vote-t-on ?
La question posée lors de l'élection présidentielle est celle de savoir qui veut-on voir porté au sommet de l'État. C'est un question nominative ; il ne s'agit pas de voter pour une étiquette ou un programme.
En effet, le vote est là pour désigner un personne qui devra prendre des fonctions pour une durée de cinq ans. Il n'est question de rien d'autre. Les Français élisent un individu en fonction de leurs affinités politiques et de la campagne observée. Au moment d'insérer le bulletin dans l'enveloppe, le choix se détermine sur des valeurs, un sentiment de confiance, un appui pour un sens de l'action. L'idée qu'il y ait un mandat des Français, donné pour faire quelque chose, et quelque chose de précis, n'existe pas. Certes la décision finale du vote se cristallise aussi sur des propositions de mesure, mais il faut bien voir qu'elles ne sont pas l'essentiel.
Ce point de vue est non seulement celui des textes mais aussi celui de l'inconscient collectif. Jamais un vote ne se porte pour la candidature technique, celle qui dit exactement ce qu'elle va faire, quand et combien ça va coûter. En conséquence de quoi, il est sans intérêt de réclamer aux prétendants un déroulement précis des opérations sur les cinq prochaines années. C'est inutile. Il devient d'ailleurs impossible ainsi de juger de la bonne action ou pas du Président par un quelconque jury de conjurés.
En effet, le vote est là pour désigner un personne qui devra prendre des fonctions pour une durée de cinq ans. Il n'est question de rien d'autre. Les Français élisent un individu en fonction de leurs affinités politiques et de la campagne observée. Au moment d'insérer le bulletin dans l'enveloppe, le choix se détermine sur des valeurs, un sentiment de confiance, un appui pour un sens de l'action. L'idée qu'il y ait un mandat des Français, donné pour faire quelque chose, et quelque chose de précis, n'existe pas. Certes la décision finale du vote se cristallise aussi sur des propositions de mesure, mais il faut bien voir qu'elles ne sont pas l'essentiel.
Ce point de vue est non seulement celui des textes mais aussi celui de l'inconscient collectif. Jamais un vote ne se porte pour la candidature technique, celle qui dit exactement ce qu'elle va faire, quand et combien ça va coûter. En conséquence de quoi, il est sans intérêt de réclamer aux prétendants un déroulement précis des opérations sur les cinq prochaines années. C'est inutile. Il devient d'ailleurs impossible ainsi de juger de la bonne action ou pas du Président par un quelconque jury de conjurés.
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