Partie 2 : À quoi mieux ?
La conception d'un mieux supérieur aux précédents n'est qu'une vision intellectualisée pour un système qui est en fait inapplicable. Le monde des idées est une chose, la vie dans le monde une autre. L'idée d'un centre autonome et puissant en politique de façon continue ne tient pas. La ligne politique ne permet que deux sens, sinon c'est le point mort. Les conditions d'arrivée au pouvoir d'un gouvernement centriste sont exceptionnelles, il faut un chambardement terrible et une remise en cause telle que déboussolé, le doigt pointe le neutre.
Alors pourquoi l'UDF ? Certains ont marre de l'opposition stérile gauche/droite, et François la considère même comme dépassée. Mais, cette structuration autorise l'établissement d'un système politique, le centre n'existant que parce qu'existent les autres. On entend dire « oui mais, à toujours défaire ce que les autres ont fait avant on perd du temps ». Pourtant, les bateaux ne réussissent à avancer contre le vent qu'en alternant rapidement les caps : 45° babord - 45° tribord - une fois dans le zig - une fois dans le zag - etc. Gardons le meilleur des virages lof pour lof et grisons-nous de ces virements de bord.
Alors pourquoi l'UDF ? Certains ont marre de l'opposition stérile gauche/droite, et François la considère même comme dépassée. Mais, cette structuration autorise l'établissement d'un système politique, le centre n'existant que parce qu'existent les autres. On entend dire « oui mais, à toujours défaire ce que les autres ont fait avant on perd du temps ». Pourtant, les bateaux ne réussissent à avancer contre le vent qu'en alternant rapidement les caps : 45° babord - 45° tribord - une fois dans le zig - une fois dans le zag - etc. Gardons le meilleur des virages lof pour lof et grisons-nous de ces virements de bord.
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